Royaume de Roi et Reine
Royaume de Roi et Reine
Royaume de la Princesse qui se languissait
Royaume de la Princesse qui se languissait
Royaume de la Princesse qui se languissait
Royaume de la Princesse qui se languissait
Jardin de la jeune fille
Jardin de la jeune fille
Scénographie de La Princesses au Petit Pois d'Édouard Signolet réalisée pour la Carte Blanche de Léa Tuil, Compagnie Hayah, au Studio Théâtre d'Asnières-sur-Seine, décembre 2023.​​​​​​​
Mise en scène Léa Tuil​​​​​​​
Création musicale et musique originale  Youenn Lerb
Parolières Mélisende Marchand, Fiona Stellino et Léa Tuil
Création vidéo - animation  Victoria Richard
Regard chorégraphique France Hervé
Scénographie Joséphine Sens
Costumes Marion Thomasson
Création lumières Mathilde Flament-Mouflard
Avec
Marco Caraffa, 
Mélisende Marchand, 
Simon Rodrigues Pereira, 
Fiona Stellino 
et Léa Tuil
Le Royaume de Roi et Reine
Le Royaume de Roi et Reine
Le Royaume de la Plus Belle des Princesses
Le Royaume de la Plus Belle des Princesses
Le Royaume de la Princesse qui se languissait
Le Royaume de la Princesse qui se languissait
Le Royaume des Princesses Cannibales
Le Royaume des Princesses Cannibales
Le Jardin de la jeune fille
Le Jardin de la jeune fille
Prince se réveille un jour à l’envers d’heureux. Avec l’aide de Roi et Reine, il trouve l’origine de son mal : il lui manque une princesse. Mais attention, ses parents insistent bien, une VRAIE princesse ! Prince parcourt alors le monde à la recherche de l’amour… Un voyage initiatique drôle et réjouissant qui évoque les questions de l’entre-soi et de la peur de l’autre.
La scénographie s'articule autour de deux éléments structurants, couplés à l'idée d'un mouvement rotatif. Les portes - qui marquent l'entrée dans chaque royaume - et les trônes, forment une entité unique mais réversible. Par ailleurs, l’agencement de tous les royaume demeure similaire, tout en faisant en sorte de faire apparaître les spécificités esthétiques de chacun d'entre eux. Ainsi le mouvement de rotation - reproduit à chaque changement d'espace - et les similitudes spatiales des royaumes marquent l'idée d'une boucle sans fin dans laquelle le prince est plongé.
Un tapis propre à chaque royaume est également déroulé pour venir se perdre au lointain. Il s'agit, d'une part, d'introduire l'idée que le chemin qu'emprunte le Prince est déjà tout tracé (par ses parents); et d'autre part, en soulignant la profondeur, de mettre l'accent sur la notion d'une continuité du voyage – qui prendra fin à l’avènement du petit pois. Pour cette dernière scène le tapis s’arrêtera au pied d'une vitrine dans laquelle le « sauveur du royaume » sera exposé, car tout ce chemin parcouru mène... au petit pois. 
L'entité porte/trône trouvera un nouvel emploi pour l'avant dernière scène en devenant le lit aux vingt matelas qui accueillera la vraie princesse. Le roi et la reine, juchés sur leur trône respectif, auront ainsi le loisir de surveiller la jeune fille durant la nuit comme le souligne le texte. Enfin, un jeu d'ombre pourra faire apparaître le petit pois en dessous des vingts matelas. 
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